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Mal-travail. Le choix des élites

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Dossier

Profession : agent littéraire, un métier mal connu

L’agent littéraire est une personne chargée de représenter les écrivains et leurs œuvres écrites auprès des éditeurs, des producteurs de théâtre et des producteurs audiovisuels. Il accompagne ses auteurs sur un plan juridique, financier et artistique, et veille sur leurs intérêts.  

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Dossier

Albums, romans : une sélection de 20 livres jeunesse pour Noël 2020

La crise sanitaire a contraint les librairies à fermer leurs portes depuis fin octobre dernier. Mais l’envie de lire est toujours là, car les livres sont le meilleur moyen de s’évader, d’apprendre, de se cultiver, de réfléchir, de rire aussi, à tous les âges et en famille.

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Livres, actualités : tout sur Leonard de Vinci

Fantastique visionnaire, inventeur de génie, les expressions manquent pour cerner la personnalité de Leonard de Vinci. Le 500e anniversaire de sa disparition est l'occasion de se replonger dans la vie, l'œuvre et l'héritage du peintre florentin, qui a multiplié les activités, de l'architecture à la botanique, en passant par la musique, la poésie ou encore la philosophie.

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Le Prix Renaudot

Créé en 1926 par des journalistes et des critiques littéraires qui s'ennuyaient en attendant les choix des jurés du Prix Goncourt, le Prix Renaudot s'est depuis fait une place de choix au sein des prix littéraires de la rentrée. Il emprunte son nom à Théophraste Renaudot (1586-1653), journaliste et médecin français, connu comme le créateur de la presse et de la publicité françaises...

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Poésies d'ici, poèmes d'ailleurs

La poésie a longtemps été considérée comme l'apanage des âmes sensibles, des rêveurs et des romantiques. Mais qu'en est-il vraiment ? Est-ce un art réservé à une élite ou peut-on tous s'y adonner ?

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Le prix des Deux Magots : 90 années à “défricher le talent”

Le prix des Deux Magots est une récompense littéraire française prestigieuse. Il est décerné chaque année depuis 1933 au Café des Deux Magots, situé dans le quartier de Saint-Germain-des-Prés à Paris. Ce prix a été créé dans le but de reconnaître et de célébrer le travail des auteurs contemporains.

Extraits

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Actualité politique France

Mal-travail. Le choix des élites

Un "nouveau pacte de la vie au travail". Telle était la promesse, durant le conflit sur les retraites, du président de la République. Un engagement déjà oublié. Pourtant, c'est bien vrai : le travail va mal en France. Il fait mal, mal aux corps, mal aux esprits. Et ce n'est pas qu'un ressenti : c'est pire chez nous qu'ailleurs, que chez nos voisins. Depuis quarante ans, nous avons choisi de maltraiter le travail. "C'est cette fierté du travail, ce sentiment d'utilité, que nous tenons à d'abord souligner. La fierté d'un travail bien fait. C'est la coiffeuse qui, dans le miroir, montre la coupe à sa cliente. C'est l'électricien qui, les fils branchés, vérifie que la lumière s'allume. C'est l'informaticien qui, dans un alignement de 0 et de 1, a trouvé le chaînon défaillant. C'est le maçon qui recule d'un pas pour regarder son mur. Même chez les travailleuses, les travailleurs, aujourd'hui remplis de dégoût, abattus, découragés, il faut encore entendre cette musique, en sourdine : leur fierté d'hier, leur utilité perdue, et cette perte fait toute leur douleur." D'où ce paradoxe : les Français aiment leur travail, en sont fiers. Mais ils n'aiment pas comment on leur fait faire leur travail, comment on l'organise, comment on le pressurise. Avec, à la clé, du découragement. Ce "maltravail français" a un coût. Sur la santé des salariés, bien sûr, altérée, jusqu'aux inaptitudes. Sur le budget de la Sécu, aussi, avec des milliards consacrés aux accidents du travail, maladies professionnelles, les arrêts de travail longue durée. Sur les entreprises, désorganisées par l'absentéisme, par le turn-over. Sur la société tout entière : ce sont des pans de notre économie, de nos services publics, qui dysfonctionnent, en peine de recrutements, en panne de compétences. Un coût qui s'élève à cent milliards d'euros, au moins. Sans compter le coût politique : le ressentiment privé, dans l'entreprise, rejaillit en ressentiment public, dans les urnes. Il nous faut sortir de ce "mal travail". Comment ? En respectant le travail. En ne le regardant plus comme un coût, mais comme un investissement. Et surtout : en introduisant la démocratie dans l'économie. Jaurès l'énonçait : "La Révolution a fait du Français un roi dans la cité et l'a laissé serf dans l'entreprise." Voilà qui doit changer, qu'on ne soit roi ni serf nulle part, mais citoyen. Citoyen dans la cité, citoyen dans l'entreprise.

02/2024

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Entre deux guerres

Le choix de la défaite. Les élites françaises dans les années 1930

Quelles sont les causes de la Défaite de 1940 ? Le grand historien Marc Bloch écrivait en avril 1944 : "Le jour viendra [... ] et peut-être bientôt où il sera possible de faire la lumière sur les intrigues menées chez nous de 1933 à 1939 en faveur de l'Axe Rome-Berlin pour lui livrer la domination de l'Europe en détruisant de nos propres mains tout l'édifice de nos alliances et de nos amitiés". Annie Lacroix-Riz analyse l'histoire des années 1930 pour éclairer les causes de la défaite de 1940. Selon elle, les Français n'ont pas été simplement vaincus en cinq jours par une Wehrmacht invincible ; le haut patronat les a sacrifiés à son plan de "réforme de l'Etat" copié sur les voisins fascistes et à son obsession d'accord avec le Reich. Cette affirmation incroyable paraît moins audacieuse à la lecture des archives, françaises et étrangères, relatives à une décennie d'actions des élites : militaires ; politiciens ; journalistes ; hommes d'affaires surtout, qui régnaient sur tous les autres, avec à leur tête la Banque de France et le Comité des Forges. L'autonomie des politiciens ou des journalistes relève ainsi du mythe, celle des militaires aussi. C'est bien la France des grands intérêts économiques et financiers qui dicta le choix de l'Allemagne comme partenaire privilégié dès les années 1920 et sabota l'alliance russe de revers qui avait évité la défaite en 1914. Aujourd'hui, l'accès aux archives éclaire les causes intérieures et extérieures de la Défaite et permet "l'instruction du procès de la vaste entreprise de trahison" que réclamait Marc Bloch.

04/2024

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Sociologie

Sociologie des élites

L'égalité est devenue valeur dominante : d'où une réticence assez répandue à l'égard de la notion même d'élite, souvent considérée comme le simple paravent conceptuel de privilèges indus. Il reste que l'existence, en toute société, de minorités qui se distinguent " par le haut " justifie qu'on développe une sociologie des élites, sans préjugés ni parti pris, seule à même de susciter ensuite des réflexions et prises de parti qui ne soient pas qu'idéologiques. Rien d'utile à cet égard comme le présent livre. La présentation synthétique de toute une tradition d'étude qui prend racine chez des classiques comme Pareto, Mosca et Michels permet à l'auteur d'éclairer, à travers la diversité des approches et des réponses, un ensemble de questions cruciales : une élite se définit-elle par une forme d'excellence ou par la seule prééminence de fait ? Les élites se fondent-elles sur le pouvoir, sur la richesse ou sur la notoriété ? Les élites éprouvent-elles un sentiment de connivence tel qu'elles puissent former de véritables classes dirigeantes ? Comment ces élites se constituent-elles, quelles sont les forces qui tendent à leur reproduction et à leur renouvellement ? Cet ouvrage s'adresse aux étudiants en sociologie et en science politique, aux élèves des grandes écoles, aux enseignants et chercheurs en sciences sociales, ainsi qu'à tous ceux qui entendent mener une réflexion informée sur les tensions croissantes entre une exigence de démocratie qui s'amplifie et le rôle effectif de plus en plus affirmé d'élites toujours plus diversifiées dans leur nature et leur modalités d'influence.

03/2004

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Cinéma

24 heures chrono. Le choix du mal

En 24 heures toujours, Jack Bauer, qui travaille plus ou moins pour une unité anti-terroriste fictive, doit faire face aux pires menaces que l’Amérique a jamais connues – bombes nucléaires, armes biologiques, gaz innervant, guerre mondiale –, dans huit saisons qui sont huit « journées en enfer » et sur fond de conspirations au plus haut niveau. Ses méthodes sont contestables, son efficacité redoutable. Êtes-vous prêt, comme lui, à vous salir les mains ? Quel prix accepteriez-vous de payer pour sauver des milliers de personnes ? Torturer ? Tuer ? Ce qui est habituellement condamnable devient-il acceptable si les enjeux sont suffisamment élevés ? 24 heures chrono est un casse-tête moral, qui produit plus d’un dilemme par heure. Une série sur la sécurité nationale mais aussi une tragédie sur le sacrifice, des autres et de soi. Du temps réel à l’héroïsme, de l’urgence à l’état d’exception, du modèle christique aux questions éthiques, de la représentation de la justice à la dialectique de l’Empire et des barbares, du bon usage de la torture à la politique étrangère américaine, du marquis de Sade à Carl Schmitt, de la propagande au divertissement, ce livre montre que, loin d’être la caricature qu’on en fait souvent, cette série est une oeuvre riche qui renferme un message important sur le choix du mal.

08/2012

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Science-fiction

Au bal des actifs. Demain, le travail

Dans la lignée des ouvrages Ceux qui nous veulent du bien (2010) ou Faites demi-tour dès que possible (2014), La Volte poursuit son exploration de notre actualité restructurée par le prisme de la science-fiction. Douze nouvelles par douze auteurs engagés et reconnus. Parmi eux, les plus grands noms de la S-F francophone. Le tout serti d'une postface signée Sophie Hiet, scénariste de la série au titre évocateur, Trepalium, qui clôt le recueil en une brillante synthèse entremêlant les thématiques explorées aux théories économiques et sociales actuelles.

02/2017

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Sociologie

Sociologie politique des élites

Le terme « élite » initialement valorisant a été progressivement dévalué par les soubresauts de l’histoire et les héritages idéologiques. Mais loin de désigner une simple opposition de « classes », une sociologie des élites peut permettre, en se dégageant de la prégnance des faits politico-économiques et du poids de l’histoire, de comprendre les changements politiques et la structuration institutionnelle des pouvoirs. Comblant le retard français en ce domaine, qui a souvent assimilé la réflexion sur les élites aux théories réactionnaires, cet ouvrage propose d’articuler une « vieille » théorie et sa « nouvelle » sociologie. Loin de céder à la tentation « oligarchiste » suscitée par le populisme ambiant, l’auteur nous propose ici un état des lieux des savoirs et des courants de la sociologie des élites pour une meilleure compréhension des dynamiques politiques et du fonctionnement des institutions d’État. William GENIEYS est directeur de recherche au CNRS et membre du laboratoire CEPEL (Centre d’études politiques de l’Europe latine) à l’université Montpellier 1.

09/2011

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